Gideon Ravenhart, Fils de Lunt Ravenhart

Une Vie Saine et Équilibrée

Gideon - Qui es-tu pour oser me toucher ? Cloporte de main d’œuvre de bas étage. Mon nom est Gideon Ravenhart. Je suis le fils du Grand contremaître Lunt Ravenhart lui-même. Et oui mon gars. Tu as fait une belle bourde en me bousculant de la sorte. Ceci dit, cela ne sert à rien que je te prévienne, je vais te corriger moi-même ici bas sur le sol froid de ta défaite. Tu vas pleurer le jour où tu m'a rencontré pauvre homme que l'esprit n'encombre pas. Tu vas maudire ton inconscience et ta maladresse maladive. Tu vas regretter d'avoir renversé mon verre d'alcool espèce de dégénéré consanguin. Je vais te rouer le visage de coup et tu pourras afficher tes blessures comme une effigie à ta bêtise.

Inconnu - Pardon Monsieur ; je... Excusez-moi...

Le pauvre homme, ayant du mal à rassembler ses pensées, tentait de s'excuser auprès du jeune homme tout de noir habillé. Il parlait d'une faible voix tout en reculant prudemment. Il avait les bras devant lui, paumes ouvertes vers le bas, signe qu'il voulait que la situation se calme. Gideon, quant à lui, se rapprochait en vociférant ainsi qu'en enfilant ses gants. D'abord le droit, lentement, puis le gauche, d'un geste vif.

D'un bond, il se rapprocha de sa victime et amorça un crochet du droit qui vint se planter directement dans la mâchoire de l'ouvrier. Du sang gicla de sa bouche alors qu'il tombait inexorablement vers le sol. Le bruit mat de la chute éveilla l'assemblée qui regardait d'un mauvais œil l'altercation. Des cris fusèrent de droite et gauche. Des insultes étaient lancées à l'encontre de Gideon. Un cercle s'était formé autour de lui et, au fur et à mesure que la foule se rapprochait, les cris s’amplifiaient. Ils réclamaient vengeance pour leur camarade affalé au sol.

Gideon se tenait droit au centre du cercle véhément. Il était en position de combat, les poings levés devant le visage. Il attendait patiemment l'assaut. A le voir, on aurait vraiment crû qu'il avait une chance de l'emporter. Il était d'un calme olympien, comme si rien ne l’impressionnait dans cette situation des plus compliquées.

Géant - FERMEZ LA ! Vous allez la fermer oui ? Poussez-vous !

Tous se turent en un instant. Comme si ils étaient retombés en enfance et que leurs parents les avaient grondés. Un homme, immense, se frayait un chemin à travers la foule. On l'aurait dit taillé dans le granit même. Gigantesque force de la nature, il faisait bien une tête et demi de plus que le plus grand des hommes présent. Sa musculature ne faisait aucun doute, sa force de travail, c'était elle. Et il devait bien travailler.

Géant - Eh toi, ouais toi connard de bourgeois. Tu viens de mettre au sol mon ami non ? Malgré que je sois tenté de laisser mes amis te réduire en charpie, je vais exploser ta grande gueule tout seul. Je détruirai ton ego et ta sale tronche en même temps. J'aime le travail bien fait.

Gideon - Ce n'est pas à en douter mon brave. Mais je suis désolé de te l'apprendre, tu ne vas pas pouvoir travailler les prochaines semaines. Je vais te réduire à la taille de tes misérables compagnons. Tu seras l'exemple de ma supériorité sur votre médiocre existence. Je vais te faire ravaler ta bravoure et ton insolence, gueux putride. Viens te battre le golem hirsute !

La foule s'était légèrement écartée, laissant un espace suffisant pour cette joute. Ils criaient leur encouragement au géant féroce. Celui-ci levait les bras en l'air en signe de victoire, un sourire carnassier sur sa sale tronche.

Gideon n'avait pas bougé si ce n'était pour balancer quelques insultes à la figure du colosse. Le géant s'approcha, n'esquissant même pas une posture de combat appropriée. Il avait juste les poings fermement serrés. Il allait se servir de sa force, et de rien d'autre.

Une fois les deux antagonistes proche, le colosse lança une droite en direction du visage serein de Gideon. Alors que le poing massif allait s'écraser sur la chair de Gideon, il esquiva d'une pirouette sur le côté droit. Il était dos au géant et avait attrapé le bras du colosse de la main gauche. Du bras droit, il envoya un coup de coude dans l'abdomen du grand homme. Il relâcha instantanément sa prise et se remis en garde. Le colosse recula de deux pas, une main sur le ventre.

Gideon - Bah alors mon gros ? On a du mal à se mouvoir dans l'espace avec une telle masse d'inutilité ? Faudrait peut-être revoir ton alimentation. A force de manger des déjections, on en devient une tu sais ?

Une lueur d'incompréhension passa sur le visage du colosse ; rapidement. Puis la violence pris le dessus, et un rictus de rage vint lui peindre un masque horrifiant. Il courut vers Gideon dans un élan meurtrier. Il envoya une droite que Gideon esquiva de justesse, puis un gauche, qui fut esquivé à son tour. Mais la dernière droite frappa violemment le crâne du jeune homme. A terre, Gideon saignait au-dessus de sa tempe gauche. Le géant le regardait d'un air furieux, et l'invitait à renfort de grands gestes, à se relever pour tâter de sa force.

Géant - Viens mon petit. VIENS. J'en ai pas fini avec toi petite merde. LEVE-TOI BORDEL ! Viens goûter à mes poings inutiles.

Gideon essuya d'un revers de manche le sang qui s'accumulait au-dessus de son sourcil. Il se releva difficilement en s'appuyant sur ses bras. Son crâne le lançait violemment. Un fois debout, il sentit le bar onduler autour de lui, mais il resta campé sur ses deux jambes. Les cris de joies fusaient tout autour de lui. C'était comme une arène où le public adulait son champion favori jusqu'à ce qu'il ne tombe au cours d'un ultime combat pour laisser sa place de favori au vainqueur.

Gideon - T'as une bonne droite mon gros, je dois bien te l'avouer. Mais ce qui va venir s'écraser dans le ramassis d'ordures qui est ta tronche, c'est quelque chose de bien plus violent. Quelque chose qu'un homme de ta classe sociale devrait craindre plus que la misère. Observe, et apprends.

Après avoir enlevé ses gants, Gideon pris son bras droit dans sa main gauche. Là, il ferma les yeux. Tout son visage se contracta et ses traits se déformèrent un instant. On aurait pu lire, dans ce vif instant, de la douleur et de la concentration. Lorsqu'il rouvrit les yeux, la peau de l'extrémité de son bras droit avait changé de couleur. Un faible halo gris recouvrait son bras du coude jusqu'au bout des doigts. C'était comme une fine poussière de métal froid qui parcourait à présent sa peau. Gideon joua en faisant craquer ses doigts devant son visage un instant, puis planta ses yeux dans ceux du colosse.

Le bruit avait cessé autour de lui. Personne ne pipait mot. Tous le regardaient, les yeux hébétés. Le géant aussi était surpris, sa masse semblait flotter dans l'air, auprès de son incertitude à agir.

Gideon - Retourne dans ton cloaque, pouilleux de la menuaille. Je n'ai que trop perdu de mon précieux temps avec ton informe personne.

Gideon se remit en garde, et d'un pas assuré bondit devant le colosse. Il lui envoya alors un coup de poing dans l'estomac. Le géant tomba net, comme si on lui avait retiré ses jambes. Il se mit ensuite à vomir sur les dalles froides de l'austère établissement.

La pâle lueur autour du bras de Gideon s'évapora alors qu'il remettait ses gants. Il mit d'abord le droit, lentement, puis le gauche, d'un geste vif. Il sortit de la poche intérieur de sa veste une blague à tabac. Il en sortit une feuille puis se roula une cigarette. Il rangea la blague à sa place puis sortit un briquet zippo de sa poche de pantalon. Il se pencha et racla la roulette sur le colosse à terre pour allumer son briquet. Il le porta ensuite à ses lèvres pour allumer le tabac bruns qui dépassait de la feuille blanche. Il le ferma brusquement, et le son se répercuta sur tous les murs de la pièce.
Pas un seul son n'était audible dans la pièce, si ce n'était les gargouillements étranges de l'homme face contre sol. Gideon rangea son briquet puis pris une immense bouffée amère de ce tabac humide. Il ferma les yeux et pencha la tête en arrière en expirant. Si les hommes qui l'entouraient n'étaient pas complètement hébétés par ce qu'il venait de se passer, ils auraient remarqué les fines gouttes de sueurs qui perlaient sur la peau de l'homme en noir et sa main libre qui tremblait légèrement.

Puis le silence fut brisé, rompu par des murmures. Ils naissaient de toutes parts, racontant mille et unes folies sur ce qu'il c'était passé à l'instant. Ils grandissaient dans les gorges attaquées par la poussière qu'elles respiraient chaque jour.

Les sons sourd emplissaient la pièce de leur grondement continu. C'est au bout de quelques minutes qu'une voix se distingua des autres. Tel un mouton qui sort du troupeau, elle se fit remarquer rapidement et les murmures se tarirent.

Inconnue - Mes frères, libérez vous de la peur qui vous maintient de son étreinte. Libérez vous de ce spectre qui n'a pas lieu d'être. Vengeons nos frères qui se sont fait tabasser. Nous sommes mille, et il est seul. Nous devons lui faire payer, à ce fils de riche.

La foule sortit petit à petit de sa torpeur. Elle suivait la voix de cette femme. Gideon ne la voyait pas, mais il entendait chacune de ses paroles. La foule prit soudain le relais et se mit à scander un slogan annonciateur du pire tout en se rapprochant du jeune homme.

« BOURGEOIS, ON VA T'CASSER LES BRAS ! BOURGEOIS, ON VA T'CASSER LES BRAS ! »




Il était un temps où l'homme vivait à la surface, auprès d'une flore et d'une faune riche en diversité. Cependant, l'homme, dans sa folie des grandeurs, détruisit tout ce qui était bon. Il rendit l'air irrespirable, la terre infertile, le climat apocalyptique et décima tout être vivant. A l'orée de sa disparition totale, l'humanité trouva un guide. Quelqu'un pour la conduire vers sa sauvegarde. Cet homme était Edgard Elvick Wattson. Il a permis a notre peuple de survivre. Il nous mena vers les profondeurs de la terre, là où tout n'était pas mort. Il nous a indiqué de quoi nous pouvions nous nourrir. Il nous a indiqué quels matériaux nous pouvions utiliser. Il nous a indiqué où nous pouvions construire. Il était notre sauveur, notre rempart face à notre propre extinction. Du fait de ses actions salvatrices, il fut élevé au rang de monarque et devint notre Roi Elvick Ier. Sa première prérogative fut de demeurer unis, de maintenir l'ordre et l'équilibre. Ainsi il structura la vie des survivants pour notre conservation à tous. Il fut le gardien de notre intégrité et de notre bon fonctionnement.  Il créa la garde royale pour nous protéger. Il donna pour mission aux ingénieurs et aux architectes de construire la cité dans laquelle nous sommes aujourd'hui en sécurité : Néo-Utopia. Afin que nous puissions perpétuer notre peuple, nous devons suivre les règles établis par notre Grand Roi Elvick Ier. La stabilité qu'il a mis en place est notre devoir, notre salut.




Gideon se réveilla le lendemain dans les ordures à la sortie du rad. Son corps le faisait souffrir atrocement. Il ouvrit les yeux, enfin il en ouvrit un, l'autre refusait obstinément de capter la lumière du jour. Il vit, de son œil valide, ses vêtements complètements déchirés et sales. Du sang séchait par tâches sur les habits noirs du jeune homme. Sa tête le lançait horriblement. Il tenta de porter sa main droite à celle-ci, mais dès qu'il voulut bouger son bras, une telle douleur lui traversa le bras qu'il abandonna cette idée bien vite dans un gémissement de souffrance. Il essaya de bouger son bras gauche. Une douleur  monta au cerveau de suite, mais il pût tout de même l'ignorer au maximum afin de pouvoir tâter son crâne. Il sentit au toucher son sang poisseux qui coulait du haut de sa tête jusqu'à sa bouche, passant par son œil immobile. Il ouvrit alors la bouche et, comme s'il respirait pour la première fois de sa vie, il prit une grande inspiration. Du sang rentra dans sa bouche et il toussa en crachant le liquide malvenue. Sa respiration prit un rythme normal après quelques minutes à cracher ses poumons sur les dalles de pierres froides. Allongé dans les ordures sur son bras gauche, il décida qu'il était temps de se lever. Il s'appuya sur son bras pour se mettre sur les genoux. Son esprit se mit à tournoyer et il se laissa retomber lourdement au sol. La douleur dans sa totalité attaqua alors son cerveau, et elle fut telle qu'il se mit à vomir la maigre nourriture ainsi que l'alcool qu'il avait ingurgité la veille.

Gideon resta planté là, à moitié dans les ordures, à moitié dans sa vomissure, pendant une bonne heure avant de recouvrer quelque peu son esprit. Il tâta la poche intérieur de sa veste et sentit la blague à tabac. Un fin sourire se dessina sur son visage. Ces pauvres abrutis n'avaient pas oubliés qu'il était le fils de grand contremaître. Ils ne lui avaient rien volé par peur des représailles si l'on trouvait des objets lui appartenant. Il la sortit alors, et découvrit que le tabac à l'intérieur s'était envolé.

Fumiers consanguins, ordures dégénérées, cloportes ingrats, ils avaient osés.

Gideon rangea sa blague à tabac et tenta à nouveau de se lever. Il y parvint cette fois et rentra en clopinant jusque chez lui, enfin plutôt jusqu'à la maison de son père.



Les rues puaient le moisi par ici, et des hauts-le-cœur soulevèrent la poitrine de l'homme au piteux aspect. Il s'appuyait souvent contre les murs moite de la cité pour reprendre son souffle. Mais il avançait inexorablement vers un doux repos. Après une pénible marche qui semblait ne jamais finir, il monta enfin dans le train aérien qui le ramènerait vers son foyer, sous le regard réprobateur de la garde royale présente pour le contrôle d'identité.



- Où étais-tu, fils indigne ?



Lunt Ravenhart, son père, l'attendait dans son grand fauteuil de cuir pourpre surmonté de dorures aux formes excentriques et de manivelles aux propriétés seulement connues par l'homme au crâne rasé.

Lunt - Tu étais encore en train de traîner tes basques avec la vermine. Et regarde dans quel état tu me rentres. Un vrai roturier ! Qui boit et qui se bat chaque soir en attendant le dernier. Que t'ai-je donc appris, fils incapable ? Ne t'ai-je pas tout donné ? De ta plus tendre enfance jusqu'à maintenant tu n'as jamais manqué de rien. Tu as eu de grands précepteurs pour t'éduquer. Tu as toujours mangé à satiété. J'ai cédé à tes caprices délirants lorsque tu grandissais. Depuis quand n'es-tu plus reconnaissant envers ton géniteur ? Alors que je me suis saigné pour toi. Tu m'exaspères au plus haut point, fils. Tu es le seul que j'ai en ce bas monde et j'ai dans l'esprit l'envie de te déshériter. Pourquoi n'es-tu pas comme je le voudrais ? Ce n'est pourtant pas trop te demander que de rentrer dans le droit chemin comme nous tous. Tu malmène ta destinée qui était toute tracée. Tu veux finir dans le quartier des travailleurs ? Dans cette mélasse exécrable qui fait leur quotidien ? Réveilles-toi fils ! Ou tu seras happé par ta propre déchéance. Et sors de mon salon, je t'ai assez vu. Vas donc te laver, immonde fils.

Gideon n'ouvrit pas la bouche une seule fois, lui qui a d'habitude la langue bien pendue. Il se contenta d'attendre la fin du sermon en serrant les dents pour ne pas s'étaler par terre à cause de la douleur. Il patienta ensuite jusqu'à ce que son père tourne la tête pour prendre du tabac dans son pot et partit sans demander son reste se reposer dans son bain.


Gideon est un jeune homme d'une vingtaine d'année. Il a une allure tout ce qu'il y a de plus commune. Il n'est ni très grand, ni très costaud. Il a les cheveux long d'un noir de jais qu'il accroche en arrière à l'aide de quelques fioritures. Il a les yeux marrons foncés, tellement foncés que l'on pourrait les dire noir.

C'est un jeune homme dont la culture ne fait aucun doute. Il a grandi du bon côté des murs. On peut le décrire comme intelligent et malin par moment comme complètement inconscient et fou dans d'autres. Est-il sain d'esprit ? C'est à en douter parfois. Il peut agir comme l'homme le plus réfléchi ou bien se jeter dans la gueule du loup tel le plus parfait des abrutis imbu de sa personne.

Il tient en très basse estime son père et le reste du monde. Il exècre le bas-peuple ainsi que les privilégiés. C'est un jeune homme perdu entre son appartenance aux privilégiés qu'il considère comme responsables des maux de la civilisation actuelle mais aussi de sa stabilité ; et entre son dégoût face au bas-peuple qui le répugne par leur inaction, par leur situation dégradante, et par la haine qu'ils portent aux privilégiés ; qui sont les racines de Gideon.

Le maigre équilibre qu'il parvenait à maintenir entre toutes ces pensées contradictoires a volé en éclat le jour où il a découvert qu'il était atteint par l'Altération. C'est sûrement à partir de ce jour que son esprit a sombré. Il a alors développé un important sentiment de supériorité ainsi qu'un comportement un tantinet suicidaire. Il aime afficher sa supériorité comme il aime se mettre dans des situations où il ne peut s'en sortir indemne.

Il ne connaît des femmes que leur nudité contre sa peau et n'est familier d'aucune autre sorte de sentiment avec la gente féminine. Il n'a d'amis que lorsqu'il boit avec le bas-peuple, et jusqu'à ce qu'il décide de tout envoyer paître. Il peut être amusant et taquin dans ces rares moments. Il redevient ensuite froid, calculateur et haineux. Il peut alors s'apparenter à un odieux salaud un poil pervers. Il ne se sépare jamais de son humour noir, noir comme la nuit éternelle qui recouvre la vie de tous les habitants des souterrains.

Laissez moi ainsi vous introduire Gideon Ravenhart,fils de Lunt Ravenhart, et détendeur de la magie appelée « Altération ».

« Oh vous savez, la magie ; c'est comme la cigarette. C'est avant tout un suicide sur le long terme, mais j'avoue ne pas pouvoir m'en passer. »

Bien!
La forme est originale, mais pour un RP de candidature je n'ai absolument rien contre. Peut-être simplement la présence un peu maladroite d'images en plein milieu d'une zone de texte? Il va sans dire que c'est purement esthétique et que l'appréciation ou non sera subjective, mais je pense que les mots suffisent. Bon niveau d'écriture en tout cas, très peu de fautes. Une candidature, en somme, on ne peut plus valable. Tu as ma bénédiction! Mais nous sommes trois arbitres, et il te faut au moins deux validations pour passer, alors tout est entre les mains de mes collègues maintenant.

Apparemment mon premier essai de mettre des images dans un texte n'est pas terriblement passé !   

Tant pis, je trouvais ça bizarre aussi mais je voulais tenter. Sinon merci, hâte de Rp avec vous   

Ce sera avec plaisir jeune Tarkin! Tu peux dès à présent poster ta fiche de personnage dans la section correspondante...sauf qu'on a pas encore défini exactement les fiches modèles. Je vais devoir te demander de patienter un peu, ça devrait se faire sous peu ^^

Oui pas de soucis !

De toute façon je suis pas encore très au clair avec la création de fiche de personnage. Donc je vais patienter un peu le temps que vous fignoliez tout ça !   

J'en profite pour t'annoncer d'avance que ta candidature te fait gagner 181 points d'expérience! Tu passes donc niveau 2 et empoche 16 points de personnalisation supplémentaires.